Les scandaleuses by Cornélius

Auteur:Cornélius
La langue: fra
Format: epub
Tags: Littérature érotique
Éditeur: Média 1000
Publié: 1000-01-14T16:00:00+00:00

CHAPITRE VI

Tout allait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes. La semaine j’avais mes deux amoureuses à disposition et je ne m’en plaignais pas, mais honnêtement j’étais crevé. Et le week-end c’était pire, même si je partageais avec Léo. Ces dames étant insatiables, on ne faisait pas que ça mais presque ; en fait quand l’une n’avait plus trop envie, l’autre était à nouveau sur le pied de guerre, et nous, les garçons, forcément nous étions de service ! Personnellement j’étais sur les rotules ! Les filles tenaient le choc, mais moi, ça finissait par me poser des problèmes dans mon métier : un prof de gym doit montrer l’exemple à ses élèves, et j’avais tellement maigri que j’étais efflanqué, comme vidé de ma substance. Alors j’ai fini par trouver la parade : Julie et Rose se faisaient déjà toutes sortes de papouilles et de chatteries, des caresses comme s’en font les femmes entre elles, il était temps pour elles de passer aux choses sérieuses. Aussi leur en parlai-je un soir, apparemment ça ne leur était jamais venu à l’esprit, mais je n’eus pas l’impression de les choquer plus que ça. En fait ça les intriguait, elles étaient plutôt curieuses qu’autre chose…

Ce qui les aida, c’est qu’elles avaient déjà l’habitude de s’embrasser. Et elles aimaient ça, les garces ! Elles prétendaient même que jamais un homme ne pourrait les embrasser aussi bien ! Je n’étais pas loin de les croire, à les voir se fouiller la bouche de leur langue agile, vive et douce à la fois. Mais de là à se faire l’amour… Pendant nos parties de jambes en l’air elles s’aidaient bien l’une l’autre au besoin, prenant en main notre verge dure pour la pointer dans la vulve ou l’anus que nous désirions honorer, mais ça n’allait pas plus loin. Pour les aider à passer le cap, je programmai donc une petite fête avec l’ami Léo, un week-end où l’adolescente n’était pas partie voir ses parents et son petit ami – qui du coup la faisait coucher avec tous ses copains, ça s’était vite su dans le coin qu’on pouvait la sodomiser autant qu’on voulait ! Ce soir-là donc, dîner aux chandelles et champagne à volonté ! Rose avait sa guêpière de tulle noir avec des bas noirs, et Julie, avec des bas blancs, étrennait un amour de serre-taille rose, baleiné et ma foi bien serré, de façon à mettre en valeur son fessier et toutes ses rondeurs. Comme d’habitude ses seins lui pendaient presque à la taille, de lourdes mamelles très écartées qu’on avait envie de triturer, d’étirer, de brutaliser, et je pensais à part moi qu’un jour il faudrait lui faire tomber la poitrine plus bas encore… Et cette fois-là, pour changer, c’était les garçons, nus, qui servaient le dîner ; nous eûmes droit aux mêmes petites privautés qu’elles subissaient dans ce genre d’occasion, et l’ambiance était fort joyeuse. Le champagne coulait à flot et j’observais le manège des filles qui, les yeux brillants,

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