Sexe attitude JLPE by Pauline D'Orgel

Auteur:Pauline D'Orgel [D'Orgel, Pauline]
La langue: fra
Format: epub
Éditeur: J'ai Lu
Publié: 2013-09-25T00:00:00+00:00

Interlude

Moteur.

J’étais Cindy Cuisselongue. D’après le script, j’étais une cocotte du XIXe (siècle, pas arrondissement) qui attendait son amant, l’Anglais Jeffrey Nobles, dans son boudoir. Le film était tourné « en costumes »… mais comme la plupart du temps nous étions tous à poil, ça me faisait doucement marrer.

J’étais agenouillée sur la méridienne, les mains calées sur les accoudoirs et les genoux enfoncés dans le velours pourpre (très XIXe). Nue, cambrée, le cul rond et offert. Un rayon de lumière censé être le soleil, mais qui en fait provenait d’un HMI, me chauffait doucement l’anus. Devant moi, un miroir immense, entouré de dorures, reflétait la scène. Dans le miroir je voyais mes seins dont les tétons avaient été durcis à la glace et rougis de plusieurs traits de henné, plus lourds et ronds que dans la vraie vie, comme orientaux. Mes cheveux, détachés, les cachaient à peine. Je voyais les contours de ma croupe qui m’encadraient comme une lune. Et derrière, au dernier plan mais se dressant de toute sa splendeur, le sexe de Jeff. Vingt-cinq centimètres.

D’une main, Jeff tenait sa bite serrée à la base, la malaxant de temps en temps pour maintenir une érection constante et spectaculaire. L’autre main était placée entre mes fesses, qu’il ouvrit comme une pomme avant de se pencher et de croquer dedans. Je poussai un cri de surprise, mais il me tint fermement et je sentis sa langue humide et chaude parcourir ma raie. Puis il glissa plusieurs doigts dans ma chatte, qui, à ma grande surprise, dégoulinait de lubricité, et commença à me branler en écartant bien les lèvres, vérifiant dans la glace que l’angle était bon et que la caméra n’en perdait pas une miette. Pas une goutte, devrais-je dire. Puis il lâcha sa queue et, m’agrippant des deux mains, les doigts crochetés sur mes hanches, vint se poster à l’entrée de mon cul. Je sentais son membre monter et descendre le long de ma raie, s’attardant sur mon anus, puis se glisser jusqu’à mon sexe gonflé comme un melon sous l’effet de l’excitation. Parce que oui, se faire caresser devant les caméras par un type à la trique énorme, avec une douzaine d’étrangers autour, était super bandant.

Jeff restait immobile à l’entrée de ma chatte, comme un animal à l’affût. C’est ce qu’il était, en fait, attendant les ordres du cameraman chargé des gros plans.

— OK, c’est bon. On passe à la deux.

D’une poussée, Jeff s’encastra au fond de moi. Une partie de son sexe resta dehors l’espace d’un instant, hésitant, qu’il fit entrer en force, m’écartelant à moitié. Et voilà, il était entré, totalement, je sentais ses couilles qui frottaient contre mon clito et ses poils pubiens contre mes fesses. J’oscillai malgré moi pour aller à la rencontre de ses coups de boutoir, qui entraient en moi si profondément que j’avais l’impression qu’ils allaient me transpercer. Puis il m’attrapa fermement les seins et me glissa à l’oreille :

— Accroche-toi, c’est parti !

Sur quoi il entreprit de me besogner avec fureur en

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