Il ne veut qu'elle by Amélia Roy

Auteur:Amélia Roy [Roy, Amélia]
La langue: fra
Format: epub
Tags: Erotique
Publié: 2020-02-24T23:00:00+00:00

Chapitre 18

Antonio passa une main dans ses cheveux avec un petit sourire en coin, il l’avait enfin retrouvée, depuis tout ce temps, elle l’avait vu et rien n’avait changé entre eux. Ils étaient très complices, et il la trouvait plus belle que jamais dans son kimono en satin, il plongea son regard dans le sien, et déposa un langoureux baiser sur ses lèvres. Il enroula ses bras autour de sa taille et Amélie en fit de même avec son cou, ils restèrent ainsi enlacés sans vouloir bouger pendant de longues minutes, ils étaient enfin réunis et ça leur faisait un bien fou. Parlant d’ailleurs de folie, ils avaient toujours été aminés par ce petit grain de folie, ce désir toujours un peu déplacé qui leur donnait envie de s’amuser quelques soient les circonstances. Ainsi quand ils se relevèrent de leur étreinte ils échangèrent un regard qui voulait tout dire, Amélie se leva du canapé, prit Antonio par la main et le guida vers la chambre.

Ils s’allongèrent donc l’un a coté de l’autre, commencèrent à se caresser, le visage, les épaules, les bras puis les cuisses, remontant avec tentation vers leurs sexes, s’effleurant le gland et le clitoris nonchalamment. Amélie sentait la queue d’Antonio devenir de plus en plus dure et de plus en plus longue contre sa cuisse, quand tout à coup il la retourna sur le flanc avec force et plaqua son sexe dur entre ses fesses. Elle ne put retenir un soupir langoureux rien qu’à l’imaginer en elle, alors elle commença des mouvements de vas et viens sur son sexe, Antonio grogna et posa ses mains sur ses hanches, les tirant à lui en rythme et amplifiant les mouvements d’Amélie. En la sentant brûlante et trempée contre lui il faillit presque à se retenir, alors il appuya sur le bas de son dos pour qu’elle se penche un peu en avant et passa ses doigts en appuyant, le long de ses lèvres mouillées. La respiration d’Amélie s’accélérait, dans ces conditions elle n’allait pas tenir longtemps, ils étaient tous les deux au bords de l’orgasme rien que de se toucher tellement ils avaient envie l’un de l’autre.

Antonio enfonça donc un doigt, puis deux, et passa son bras libre autour du cou d’Amélie pour le serrer et lui couper un peu la respiration. Il faisait des allers venus si rapides et profonds dans la chatte d’Amélie qu’elle se mettait à couiner en plus de ses gémissements, elle dégoulinait sur ses doigts, sa queue était prête à exploser mais il voulait l’entendre encore un peu crier, la tête dans le coussin, ne pouvant plus se retenir. Tout son corps était en feu, des fourmillements plein les lèvres, Amélie était à bout de souffle, Antonio lui mordit le cou et ce fut le coup de grâce, elle ne pu retenir un jouissement. Ses tétons durs lui faisaient mal au frottement du coussin, ses fesses étaient rouges sous les claques d’Antonio et son clitoris lui faisait tellement de bien qu’il lui faisait mal sous les doigts d’Antonio.

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