Dieux Éleveurs T2 : L'Éleveur Milliardaire by Gigi Potemkin

Auteur:Gigi Potemkin [Gigi Potemkin]
La langue: fra
Format: epub
Éditeur: Auto-Édité
Publié: 2024-01-04T00:00:00+00:00

Chapitre 7 : Les balles les plus pleines

La pièce était une scène de crime, qui me montrait exactement ce qui m'attendait : des centaines de femmes s'évanouissaient, battues pour se soumettre par un coq viril, se tortillant et tremblant sur le sol, éprouvant des orgasmes massifs même lorsqu'elles étaient inconscientes. Cette pièce à elle seule contenait une soixantaine de « cadavres » flottant sur des centaines de milliers de gallons de sperme, et bien plus encore coulaient des trous du plafond. Certains corps tombaient avec le sperme, formant des tas de chair près de moi, et quelques femmes étaient littéralement collées au plafond par le foutre viril, restant là, immobiles et inconscientes, comme de petites mouches sur une toile d'araignée.

J'avais la plus grosse boule du monde dans la bouche. Le testicule puissant de l’homme était légèrement plus gros qu’un ballon de football américain, et je l’avais tout dans ma bouche, sa moitié inférieure envahissant ma gorge, une boule plus longue et plus épaisse que n’importe quel pénis que j’avais goûté auparavant. Mon étalon me souriait, regardant parfois autour de lui les destructions qu'il avait provoquées et prenant une profonde inspiration, faisant gonfler sa poitrine dans des proportions encore plus scandaleuses. "N'est-ce pas un beau spectacle, salope?" » demanda-t-il, sa voix faisant trembler la pièce. Je frémis et jouis, « mordant » ses couilles, ou plutôt les serrant avec des contractions de la bouche et de la gorge, car pas un pouce à l'intérieur de moi n'était laissé libre par cet organe gargantuesque. "C'était un bon coup rapide pour vider mon sac." Répétait-il, sentant sa balle palpiter et se remplir dans ma bouche.

L'étalon arrogant fléchissait les muscles, faisait sauter sa bite et me frappait la tête comme une batte de baseball. Ce cheval arrogant ! J’aurais aimé n’avoir qu’une fraction de ses forces pour lui donner une leçon… mais je ne l’ai pas fait ! Je n'étais qu'une de ces centaines de salopes qu'il consommait ; rien d'autre qu'une bombe brésilienne attendant le même sort : dormir, évanoui sur une flaque de foutre, après m'avoir fécondé avec des litres de son foutre.

Malgré mon agonie, je jouissais déjà. En fait, je n'avais jamais arrêté de jouir depuis que cet étalon avait commencé à punir chatte après chatte devant moi, il y a environ cinq heures, et je me suis évanoui d'innombrables fois en le voyant ravir inlassablement plus de trois cents corps comme l'étalon divin qu'il était.

Trois cents femmes ont l'impression devant moi qu'elles n'étaient rien. La moitié d’entre elles étaient des bombes musclées et des Amazones robustes dotées d’une masse musculaire, d’une endurance et d’une puissance incroyables ! L'autre moitié était constituée de dames « classiquement belles et féminines » avec des corps grands, des tailles fines, des seins massifs, des culs scandaleux et de longues jambes bien toniques qui pouvaient donner des coups de pied comme des juments, et elles aussi connaissaient les hordes d'étalons.

Aucune des filles n’était inexpérimentée ; aucun d’entre eux n’était naïf en termes de sexe et

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