Didier van Cauwelaert by Karine après la vie

Didier van Cauwelaert by Karine après la vie

Auteur:Karine après la vie [Karine après la vie]
La langue: fra
Format: epub
Éditeur: Albin Michel - 2002
Publié: 2015-01-20T23:00:00+00:00


Le 19 juin 1996, nous partons pour Paris, et le dimanche 21 toute la famille se réunit dans la nouvelle maison de Patricia et de son mari.

Après le repas, qui a lieu dans le jardin, nous discutons debout en prenant le café. Tout à coup une tasse tombe de la table et éclate au sol. Personne ne l’a vue se briser mais, comme Huguette, la sœur d’Yvon, se trouve à proximité, c’est elle qu’on « accuse ». Par la suite, Huguette nous confessera qu’elle n’avait jamais touché la table. Un fait similaire s’est produit avec le mari d’Huguette. Un plat est tombé sur le sol de la cuisine, et cette fois, c’est Huguette qui a accusé son mari. Or celui-ci était à plus d’un mètre de la table en train de bavarder avec nous. Quelques minutes plus tard, le son de la télévision, que nous avions réglé au plus bas, retentit sans que personne n’ait touché la télécommande. Impossible de le réduire sauf en débranchant le téléviseur. Le technicien n’a pas pu réparer l’appareil et n’a pas réussi à expliquer la panne.

Entre le 8 et le 10 août 1996, Maryvonne entend quatre coups dans le mur, quatre coups sur la vitre de notre chambre, quatre coups sur la tête de lit, qui a même bougé. Le 23 août à San Salvador, elle essaye de communiquer avec Karine par écriture automatique. Pendant qu’elle commence à écrire, elle ressent comme une boule d’énergie « magnétisée » qui se rapproche, venant de la fenêtre. Les poils de sa jambe et de son bras gauches se hérissent et une poussée très forte lui fait perdre l’équilibre au point de tomber presque de sa chaise. À ce moment, par transmission de pensée, Karine s’excuse en expliquant qu’elle ramène Ruffo, un énorme chien que nous avions et qui est parti quelques mois plus tôt.

Le 27 août, alors que nous avions rendez-vous au parquet, dans le cadre de l’enquête sur l’accident dont Karine a été victime, notre avocat se trompe d’horaire. Il est 10 heures, et nous devons rencontrer l’auteur de l’accident et sa famille, mais notre avocat vient à peine de quitter Tolùca. L’avocat de la partie adverse et le magistrat refusent d’attendre. Nous commençons donc sans lui. La greffière utilise un ordinateur et, vingt minutes plus tard, les déclarations des uns et des autres s’achèvent alors qu’arrive notre avocat. Au même moment, toutes les déclarations s’effacent de l’ordinateur sans que personne n’y ait touché. La greffière, médusée, n’y comprend rien. Nous, si… Chacun pensera ce qu’il voudra ! Les déclarations sont de nouveau transcrites, mais cette fois en présence de notre avocat.

Entre le 14 et le 17 octobre, Yvon est en déplacement dans le nord du pays. Pendant deux nuits, Maryvonne, seule, sent plusieurs fois « les petites pattes » d’un chat qui se promène sur son lit. Le 17 décembre, Yvon rentre fatigué de son travail. Nous avons un rendez-vous à l’Alliance française et il demande à Maryvonne de conduire. Karine lui transmet un message par télépathie : « Si maman conduit, elle va avoir un accrochage.



Télécharger



Déni de responsabilité:
Ce site ne stocke aucun fichier sur son serveur. Nous ne faisons qu'indexer et lier au contenu fourni par d'autres sites. Veuillez contacter les fournisseurs de contenu pour supprimer le contenu des droits d'auteur, le cas échéant, et nous envoyer un courrier électronique. Nous supprimerons immédiatement les liens ou contenus pertinents.