STRADIVARIUS by Bernard Jean Pierre

STRADIVARIUS by Bernard Jean Pierre

Auteur:Bernard Jean Pierre
La langue: fra
Format: epub
Éditeur: Books on Demand


STRADIVARIUS 30 - LA VIDEO

CHAPITRE. 30

22.12 - 9h

LA VIDEO

9h

Au même moment et au petit matin…

Pierre et Jeannette, se réveillèrent dans la tente, bien cacher et dans le vieux potager de derrière du bar cabaret.

La neige, jouait encore des siennes et le potager, commencer à se couvrir d’une grosse épaisseur de neige, bien épaisse.

Jeannette, rétorqua à Pierre,

« Je vais acheter des vêtements chauds pour Rose, car une petite robe et un collant pour elle ! Ce n’est pas suffisant ! J’en ai pas pour longtemps, Pierre ; trente minutes, tout au plus…! »

Pierre, acquiesçait simplement de la tête.

Jeannette, disait encore à Pierre,

« Si tu vas au bar, n’oublie pas de surveiller la porte vitrée pour Rose, Pierre…! »

Pierre, tout en bayant, fit encore un signe de tête de compréhension à Jeannette ; puis, Jeannette, parti dans la grande rue, acheter quelques affaires chaudes pour Rose.

-

9h10

Quelques minutes après et dans le bar… Pierre astiquer son accordéon, et ce, pour la prestation du midi.

Au bout d‘un moment… un client vint s’asseoir au bar, et se mit à parler de son magasin, et qui se trouver à deux pas de là.

Il ne parlait pas de Jeannette ! Mais il disait,

« J’ai eu une cliente française, qui est venu au magasin ! Comme je ne comprenais rien à ce qu’elle me disait ? Je ne l’ai pas servi et je l‘ai envoyé, paître ailleurs…! »

Le patron répondait gentiment au client, mais Pierre, lui, pensa immédiatement à Jeannette.

Rapidement, il jeta un œil par la porte vitrée et se précipita aussitôt dans la rue, pour aller rejoindre sa femme, Jeanette.

Au même moment, Bill, le chasseur de photo, s’était garé presque devant le bar, croisant même du regard Pierre, le papa de Rose.

Puis, Bill, d’un pas pressé, partit dans la petite ruelle de derrière, et cette fois-ci, alla jusqu’au bout de celle-ci.

Arriver tout au bout de la ruelle, il remarqua tout de suite, le petit passage et dont l’entourage d‘une ancienne grille, donner vers une sorte de potager abandonné.

Bill baissa la tête, puis, il alla jusqu’au potager, et se rendit vite compte que la tente grisâtre était bien là, bien cacher et dans un coin du vieux terrain abandonné.

Il disait, d‘un air enchanter,

« Chouette ! La tente du Happy Day est là…! »

Puis, il disait à voix basse,

« Petite ! C’est toi ? Tu es là, Rose ! Tu as déplacé ta tente ? Tu as bien fait, petite…! »

Mais dans la tente, Rose, dormait profondément dans son sac de couchage, et dont celui de Pierre et Jeannette, était complètement invisible, car mis en dessous de celui de Rose.

Bill, avait ramené son appareil photo et qui faisait vidéo en même temps.

Avant de rentrée dans la tente, il prit alors quelques photos de la tente et du potager ; mais il voulait faire une vidéo de Rose, car il savait ! Qu’il tenait là, une affaire assez étrange ! Et qui pouvait surtout lui rapporter gros.

Il disait alors à Rose, et en la voyant toujours endormi,

« Rose ! Rose



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