Le Vice au corps by Cornélius

Le Vice au corps by Cornélius

Auteur:Cornélius [Cornélius]
La langue: fra
Format: epub
Tags: Roman pornographique
Éditeur: Média 1000
Publié: 1000-01-14T16:00:00+00:00


CHAPITRE XI

Les dernières semaines ont été bien occupées. Céline a passé ses week-ends en galante compagnie, avec la troupe habituelle. Elle m’en revient toujours plus assouplie, docile, repue, mais les sens exacerbés. Comme dit Larbi : « Mon vieux, on te la renvoie pleine à ras bord ». Elle-même en plaisante : « Je coule de partout, mon chéri, comme tu aimes... » Et c’est vrai que j’aime la baiser dans cet état, je la sens femelle et putain et, elle, ça l’excite aussi. Elle a pris goût au martinet et réclame qu’on lui chauffe le derrière avant l’amour. La cravache, c’est pour quand elle rentre, le dimanche soir. Elle est marquée en permanence, ses grosses joues fessières striées de marbrures décolorées ou violacées. Souvent, elle se trousse pour observer leur réseau serré, avec un drôle d’air mêlé de fierté et d’excitation. Je m’amuse à lui toucher les fesses, sous la jupe, ou dessus si nous sommes dehors ; elle ne peut réprimer une réaction de douleur, surtout en début de semaine, mais aussitôt, elle m’adresse un sourire radieux, complice.

Sinon, je me rends compte que j’aime de plus en plus la voir faire l’amour. Elle est tellement faite pour ça ! Ses gestes quasi professionnels gardent une sorte de pureté hyper sensuelle, elle se donne complètement, d’autant plus, me dit-elle, qu’elle sait que je suis là. J’aime quand elle dit bonjour, lascive et docile, au milieu des hommes qui la palpent, pressent ses seins, sa taille, fouillent ses orifices. Elle embrasse l’un, puis l’autre, puis un autre encore, langue en bouche, tendre, amoureuse, les mains sur des verges, cambrée, tendant ses fesses à la caresse, avant de plonger, et de sucer, et d’avaler, puis d’en prendre un autre, de l’embrasser, de le sucer, et encore un autre...

J’aime le moment où un membre dur approche sa vulve ouverte, colle son mufle satiné à l’orifice en une sorte de baiser de chair obscène, puis par degrés s’enfonce, impérieux, écartant les parois souples, au sein des profondeurs glissantes, forçant et épousant totalement l’anneau dilaté du sexe comblé. Alors transparaissent sur son visage de femelle les contractions involontaires du plaisir ; au fur et à mesure que son amant se rend maître de son ventre, une expression de plénitude presque douloureuse métamorphose ses traits, comme si la queue qu’elle a au fond du ventre faisait la loi dans tout son corps.

Sa bouche s’ouvre sur sa plainte rauque, accordée au rythme et à la brutalité des pénétrations.

Mais je la préfère encore enculée jusqu’à la garde, livrée aux plaisirs sodomites, contractée, grimaçante, subissant égarée cette violence qui sans fin saccage son fondement dilaté, amoureuse du pal qui la poignarde au plus secret de ses entrailles. Elle ne se plaint pas, elle geint et crie son désarroi qui est aussi sa jouissance, hurlant sa soumission à ce qui la déchire, belle comme jamais. Toujours, elle est prête à se faire enculer ; d’elle-même, elle se met en position, écartant ses fesses sans pudeur sur son trou déformé. Surtout après le fouet. Elle le dit elle-même, elle n’en a jamais assez.



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